Les Phares

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Les Phares

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230 円 (税抜き)

EXTRAIT: CHAPITRE PREMIER Les phares dans l’antiquit?. ー leur construction et leur mode d’?clairage. ー le phare d’alexandrie. ー la tour d’ordre, ? boulogne. ー la tour de douvres. ー les phares au moyen age. ー la tour de cordouan. ー le phare de g?nes. L’origine des phares remonte ? l’antiquit?. D?s que l’art de la navigation commen?a ? prendre quelque importance, on dut se pr?occuper des moyens de signaler aux vaisseaux arrivant du large, le voisinage des c?tes, ou les ?cueils qui en rendent les abords difficiles. Ce n’est point, en effet, en pleine mer, ce n’est pas quand on ne voit que le ciel et l’eau, selon l’expression consacr?e, que les plus grands dangers menacent le navigateur. Pour lui, les accidents sont ? craindre surtout ? proximit? des terres et ? l’entr?e des ports. Il importe donc que le marin soit averti, ? une assez grande distance, de l’existence d’un promontoire, d’une ligne de r?cifs, ou d’un banc de sable, sur lesquels il peut aller se briser ou s’?chouer, faute d’une indication pr?alable. Les embouchures des fleuves, les passes qui donnent acc?s dans certains ports, doivent ?galement ?tre ?clair?es, pour qu’un navire puisse s’y engager hardiment apr?s la chute du jour, avec le concours d’un pilote du lieu. Il y a enfin n?cessit? imp?rieuse ? ce que l’entr?e du port soit indiqu?e, de jour et de nuit, par un signal bien visible. Dans l’antiquit?, de simples fanaux signalaient les ports ou les ?cueils, ce qui s’explique par le peu d’importance que pr?sentait alors la navigation. ? cette ?poque, le Pir?e, rade ou port d’Ath?nes, ?tait pourvu, ainsi que beaucoup d’autres ports de la Gr?ce, de tours ? feu, qui remplissaient le double r?le de bastions d?fensifs et de guides pour les navigateurs. Les ?crivains de l’antiquit? nous ont transmis des renseignements sur les tours ? fanaux plac?es ? l’entr?e des ports, mais leurs r?cits sont trop contradictoires pour servir de base ? une description s?rieuse. Comme il n’existe plus aucun vestige, aucunes ruines de ces petits ?difices, on ne peut contr?ler l’exactitude des r?cits des anciens auteurs. Il faut donc avouer que nous ne savons rien, o? presque rien, sur les tours ? feu dont faisaient usage les Grecs, les Romains, les habitants de la Ph?nicie, et les autres peuples des bords de la M?diterran?e qui se livraient ? la navigation. Selon toute apparence, ces ?difices durent ?tre d’abord tr?s-simples : une tour avec un feu au sommet. Pour qu’elles fussent visibles pendant le jour, ces tours ?taient b?ties en pierres blanches, qui sollicitaient le regard. Le mode d’?clairage ?tait tout primitif ; il consistait en un feu de bois br?lant ? l’air libre, et que l’on entretenait constamment. Mais un tel foyer devait souvent s’?teindre par les gros temps, c’est-?-dire au moment o? il ?tait le plus n?cessaire. Ces phares, tout imparfaits qu’ils fussent, rendirent d’incontestables services ? la navigation. La premi?re tour ? feu dont il soit fait mention dans l’histoire de l’antiquit? grecque, est celle dont parle Lesch?s, po?te qui vivait dans la 30e olympiade. Cette tour que Lesch?s place au promontoire de Sig?e, a ?t? repr?sent?e dans la table Iliaque, d’apr?s la description de Lesch?s. Le savant Montfaucon, dans son grand ouvrage, l’Antiquit? expliqu?e, en a donn?, d’apr?s ce document, la figure que nous reproduisons ici.画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。
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