Le lendemain matin, ? l’heure indiqu?e, le petit mot que M. Gryce m’avait promis ?tait venu. Il a ?t? mis dans ma main avec de nombreux clins d’?il sournois par la propri?taire elle-m?me, qui a d?velopp? lors de cette crise une adaptation pour sinon un amour absolu de l’intrigue et du myst?re. En jetant un coup d'?il dessus - il ?tait non scell? - et le trouvant tout ? fait inintelligible, je le pris pour acquis que tout allait bien et le laissai au hasard, ou si cette strat?gie ?chouait, cela devrait me donner l'occasion de communiquer avec Mme Blake. . Une heure passa; les portes de leurs chambres sont rest?es non ferm?es. Une demi-heure de plus tra?na ses lentes minutes, et aucun son n'?tait sorti de leur enceinte sauf de temps en temps un mot de conversation marmonn? entre le p?re et le fils, un bref commandement ? la fille, ou un serment de ne pas ?tre retenu de contrari?t? de l'une ou des deux brutes aux membres lourds comme quelque chose a ?t? dit ou fait pour les troubler dans leur repos indolent. Enfin, mon impatience ne devait plus ?tre ma?tris?e. En se levant, j'ai pris une r?solution audacieuse. Si la montagne ne venait pas ? Mahomet, Mahomet irait ? la montagne. Prenant ma lettre dans la main, je me suis d?lib?r?ment dirig? vers la porte marqu?e de la croix rouge mena?ante et j'ai frapp?. Un grondement surpris de l'int?rieur, suivi d'un brusque mouvement de pieds alors que les deux hommes sautaient debout de ce que je pr?sumais ?tre une position couch?e, m'avertit d'?tre pr?te ? faire face au d?fi, sinon ? la fureur du d?sespoir; et freinant avec un effort d?termin? le l?ger creux de c?ur naturel d’un homme de ma marque au seuil d’une aventure tr?s incertaine, j’attendais avec la plus grande indiff?rence apparente possible l’avance rapide de ce pied l?ger qui semblait pr?t ? ex?cuter toutes les ench?res de ces mis?rables endurcis, tout comme il se retira de suivre les voies de leur infamie. "Ah mademoiselle", dis-je, alors que la porte s'ouvrait, r?v?lant dans le foss? son visage blanc assombri par une nouvelle et soudaine appr?hension. "Je vous demande pardon mais je suis un vieil homme, et j'ai re?u une lettre aujourd'hui et mes yeux sont si faibles avec le travail que j'ai fait que je ne peux pas le lire. C'est de quelqu'un que j'aime, et seriez-vous assez aimable pour lire les mots pour moi et ainsi soulager un vieil homme de son angoisse. " Le murmure de suspicion derri?re elle la conseilla d'ouvrir grande la porte. "Certainement", dit-elle, "si je peux," prenant le papier dans sa main. "Laissez-moi seulement jeter un coup d'oeil ? cette premi?re", dit une voix maussade derri?re elle; et la plus jeune des deux Schoenmakers s'avan?a et lui arracha le papier. "Tu es trop m?fiante", murmura-t-elle en le prenant avec la premi?re supposition de cet air de pouvoir et de d?termination que j'avais entendu si ?loquemment d?crit par l'homme qui l'aimait. "Il n'y a rien dans ces lignes qui nous concerne; laissez-moi les r?cup?rer." "Vous tenez votre langue", fut la r?ponse brutale alors que l'homme brutal ouvrait le papier pli? et lisait ou essayait de lire ce qui ?tait ?crit ? l'int?rieur. "Blast it C'est fran?ais", fut sa lente exclamation apr?s un moment pass? de cette fa?on. "Tu vois" et il la poussa vers son p?re qui fron?ait les sourcils ? quelques pieds de l?. "Bien s?r, c'est fran?ais", cria la fille. "Voulez-vous ?crire une note en anglais ? votre p?re, l?-bas? Les amis de l'homme sont fran?ais comme lui et doivent ?crire dans leur propre langue." ≪Prends-le ici et lis-le≫, ordonna son p?re; "Et remarquez que vous nous dites ce que cela signifie. Je n'aurai rien ici que je ne comprenne pas." "Lisez-moi d'abord les mots fran?ais, mademoiselle," dis-je. "C'est ma lettre et je veux savoir ce que mon ami a ? me dire." En hochant la t?te avec un regard doux, elle jeta les yeux sur le papier et commen?a ? lire: "Calmez vous, mon amie, il aime et il vous cherche. Dans quatre heures vous serez heureuse. Allons du courage, et surtout soyez maitre de vous meme. " "Merci!" M'exclamai-je calmement et concr?tement en voyant le tremblement soudain qui la saisit lorsqu'elle reconnut l'?criture et r?alisa que les mots ?taient pour elle. "Mon ami dit qu'il va payer le loyer de ma semaine et m'invite ? le recevoir chez moi", dis-je en me tournant vers les deux visages f?roces qui regardent par-dessus son ?paule, avec un regard d'insouciance dans l'?il, que dans un th??tre ont d?truit la maison. "Est-ce ce que ces mots disent, vous?" demanda le p?re en d?signant le papier qu'elle tenait par-dessus son ?paule. "Je vais traduire mot pour mot ce que ?a dit", r?pliqua-t-elle, nerveuse devant la crise jusqu'? ce que son visage ressemble ? du marbre, m?me si je pouvais voir qu'elle ne pourrait emp?cher la lueur d'un enl?vement secret qui lui ?tait venue ? travers lui.画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。 ※ご購入は、楽天kobo商品ページからお願いします。 ※切り替わらない場合は、こちら をクリックして下さい。 ※このページからは注文できません。
