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D?couvrez ou red?couvrez le parcours hors normes d'Eddy Merckx, l'homme aux 525 victoires ! Il y a 50 ans, Eddy Merckx remportait son premier Tour de France, ?crivant ainsi les premi?res lignes d’un palmar?s qui le fit entrer dans l’Histoire et lui valut le surnom de ≪?Cannibale?≫. Quelle fut r?ellement la vie d’Eddy Merckx, l’homme aux 525 victoires?? Qui se cache derri?re ce champion hors du commun?? Quand et comment a-t-il pris conscience des possibilit?s, r?ellement inou?es, qu’?taient les siennes?? Comment est-il devenu ce cycliste hors pair, cet athl?te d’exception au palmar?s quasiment sans ?gal qui lui vaudra d’?tre consid?r? comme le plus grand cycliste de l’Histoire?? St?phane Thirion a men? une s?rie d’entretiens avec le champion et en livre ici un portrait in?dit. Jamais Eddy Merckx, sa famille et ses proches n’?taient all?s aussi loin dans les confidences concernant sa vie. Jamais un livre n’avait d?crit, avec autant de maestria, la r?alit? de sa vie une fois qu’il a quitt? les pelotons. Invit? d’honneur de cette 106e ?dition du Tour de France, Eddy Merckx nous embarque avec lui dans la course effr?n?e que fut sa vie une fois ?chapp? des pelotons. Entrez dans les coulisses de la vie tr?pidante du c?l?bre cycliste gr?ce aux entretiens et aux t?moignages exclusifs de cet ouvrage biographique ! EXTRAIT Ma victoire de 1969 est peut-?tre la plus belle sur le plan physique et c’est celle qui a le plus marqu? les esprits, car la descente vers San Remo avait ?t? vertigineuse. Il faut s’imaginer ce que c’est, ? quatre-vingts ? l’heure, sur un v?lo l?ger, ?quip? de boyaux de deux cents grammes seulement. Il faut une ma?trise absolue de soi et de sa machine. Freiner le plus tard possible en entrant dans les virages, comme si on pilotait une voiture sur un circuit. Apr?s, il faut disposer d’un sacr? coup de reins pour relancer le grand braquet et entamer la ligne droite, qui, elle aussi, sera suivie au dernier moment d’un nouveau coup de frein et ainsi de suite jusqu’? retrouver le niveau de la mer. ? la fin de ma carri?re, ces virages ? angle droit n’avaient plus de secret pour moi. Malheureusement, ces descentes du Poggio sont toujours rest?es inconnues du public : pour les cameramen ? moto, il est tout bonnement impossible de suivre les coureurs. Lorsque je me suis impos? en 1969, je portais un maillot italien et une troisi?me victoire sous le maillot Faema ?tait la garantie d’une arriv?e bruyamment ovationn?e ! Ce fut le cas. Je ne l’oublierai jamais non plus. En 1971, on annon?ait un duel avec Gimondi. Dans les ≪ capi ≫, les c?tes qui se situent dans les cent derniers kilom?tres, la course ?tait nerveuse. En escaladant le Poggio, Gimondi commit une erreur fatale : il attaqua en premier. Bruy?re me ramena. Puis, j’ai insist? et contre-attaque avant de remporter la victoire, comme deux ans plus t?t, dans la descente. Le lendemain, j’ai d?pos? mon bouquet sur la tombe de Jean-Pierre Monser?, mort quelques jours plus t?t. Le jeune champion du monde belge s’?tait tu? le 15 mars 1971 ? l’?ge de vingt-deux ans lors d’une course ? Retie, en Campine, o? une voiture folle le faucha dans sa gloire naissante. On peut encore et toujours gagner Milan-San Remo dans le Poggio et, surtout, dans la descente. Un homme costaud et audacieux peut le faire, m?me aujourd’hui. Le Poggio intervient apr?s 285 kilom?tres : il faut ?tre frais, lucide, pas seulement rapide. Ma victoire en 1972 est la plus folle, dans la mesure o? j’?tais cass? en deux. Je souffrais d’une vert?bre froiss?e ? la suite d’une chute dans Paris-Nice. J’?tais vraiment bris?, mais, avec le maillot de champion du monde sur les ?paules, il n’?tait pas question pour moi de laisser filer la victoire.画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。
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