ette aventure, John Strobbins ne la voulut pas. Et pour cause ! Il fut cambriol?, inculp?, emprisonn?, et peu s’en fallut qu’il ne finit sur la chaise ?lectrique. Peu s’en fallut qu’il ne p?rit d’une autre mani?re, mais aussi mis?rablement… Ayant vendu sa villa de Los Angeles, pour ne plus rencontrer ? chaque pas les ≪ t?tes ? l’huile ≫ du cin?ma, John Strobbins, qui aimait le soleil, avait travers? les ?tats-Unis et avait achet? un petit bungalow, situ? sur la c?te sud de Floride, ? moins d’un demi-mille de Romano-Inlet. Romano-Inlet ?tait, il y a quelques ann?es, un mis?rable village de p?cheurs. La c?te floridienne ?tant devenue ? la mode, Romano-Inlet fut achet? par des sp?culateurs. Ils n’eurent pas de peine ? exproprier ? coups de dollars les malheureux p?cheurs, et, une fois ma?tres du terrain, b?tirent trois palaces, un casino, une estacade et annonc?rent dans les journaux de New-York et dans ceux de Chicago, que Romano-Inlet ?tait ≪ v?ritablement ≫ la succursale du Paradis terrestre, que le climat y ?tait id?al, la mer plus bleue qu’ailleurs, et que le terrain, ? deux dollars le pied carr?, constituait une splendide occasion, a splendid opportunity.画面が切り替わりますので、しばらくお待ち下さい。 ※ご購入は、楽天kobo商品ページからお願いします。 ※切り替わらない場合は、こちら をクリックして下さい。 ※このページからは注文できません。
